mercredi 25 mars 2009

Ne te promène donc pas toute nude !

Cette saison, il me faut un top nude (note à l'attention de mon chéri : j'ai écrit "nude" avec un "d", pas "nue").

Autrement dit, un petit haut dont la teinte hésite entre le chair et le vieux rose.

A priori, le nude, je suis pour. Même si ce n’est qu’une couleur pour mémés, miraculeusement recyclée en 2009 par les pros du marketing de la fashion.

Parce que le nude, c'est doux, féminin, facile à assortir. Et puis sexy aussi ( avec un nom pareil, c'est pas difficile).

Mais le nude, ça ne va pas être possible. La faute à qui ? Aux rédactrices beauté des magazines féminins. Des prêtresses qui, visiblement, ne travaillent pas dans le même open space que leurs collègues de la rubrique mode. Des pros de la cosméto qui, veillant à la fois sur notre beauté ET notre santé, nous enjoignent de ne surtout pas bronzer. Parce que bronzer, c'est mal ; ça donne le cancer. Même avec de la crème qui empêche de bronzer. Parce que la crème qui empêche de bronzer, elle est cancérigène, elle aussi. Bref.

En tant que fashionista docile, je veux bien les écouter, les grandes prêtresses de la presse féminine. Mais le nude sur ma peau douloureusement rescapée de l’hiver, ça fait ressortir tout ce que je déteste dans mon visage : mes cernes, mes vaisseaux sanguins éclatés, mes lèvres tachées, mes vilains points noirs... Alors que le nude, sur ma peau caramélisée-dorée, ce serait quand-même plus joli. Saleté de mélanome.

M’en fiche, cette saison, je vais laisser tomber le nude. Et opter pour une teinte bien plus raccord avec mon teint (et mon style de vie) : le cognac.
(Oui mon chéri, j’ai bien écrit « cognac »).

lundi 2 mars 2009

La belle saison

Youpi, c'est presque le printemps !

Et avec l'arrivée des beaux jours,
comme chacun sait...

c'est le retour des vide-greniers !